4/5
- Ouest France

« À VOIR  »

- L’Humanité
4/5
- Les Fiches Cinéma

« Salvateur »

- Première

« Passionnant »

- Libération

« Une expérience sensorielle »

- France Culture

« Très beau film »

- RFI

« Édifiant »

- Le Monde

« Un film essentiel »

- Rolling Stone France
5/5
- National Post

Sur deux continents, quatre femmes sont victimes de cyberviolences extrêmes : Marion Séclin, comédienne et youtubeuse française, Laura Boldrini, présidente du parlement italien, Kiah Morris, représentante démocrate américaine ainsi que Laurence Gratton, jeune enseignante québécoise. Abandonnées par les forces de l’ordre, la classe politique et les géants du web qui engrangent des milliards avec la haine, elles décident de se battre et de ne plus se taire.

À l’automne 2017, le hashtag MeToo a secoué la planète, entraînant une vague de dénonciations d’agressions sexuelles sans précédent dans le monde occidental. Le ressac est à la mesure de la déferlante: une misogynie plus virulente que jamais éclabousse nos écrans. Harcèlement, dénigrement, lynchage, sextorsion, diffusion de photographies intimes, menace de viol ou de mort… Selon l’ONU, 73% des utilisatrices d’Internet ont subi une forme de cyberviolence.

Le long-métrage documentaire Je vous salue salope : La misogynie au temps du numérique, suit quatre femmes et un homme particulièrement touchés: Laura Boldrini, la femme politique la plus harcelée d’Italie; Kiah Morris, politicienne afro-américaine de l’État du Vermont qui a été forcée de démissionner après avoir été harcelée et menacée en ligne par des membres de l’extrême droite; Marion Seclin, YouTubeuse française ayant reçu plus de 40 000 messages sexistes, incluant des menaces de viol et de mort; Laurence Gratton, jeune enseignante québécoise harcelée depuis 5 ans par un ancien collègue de classe; et Glen Canning, père de Rehtaeh Parsons, jeune fille qui s’est enlevé la vie à la suite d’un viol dont les images se sont propagées jusqu’à devenir virales sur la toile.

 

Comment se vit cette violence soi-disant virtuelle? C’est ce que cet opus aux airs de thriller s’attache à montrer, en suivant les victimes au plus près, dans leur quotidien. On vit en temps réel les vagues de haine qui les assaillent, la peur qui envahit l’espace intime, la perte du sentiment de sécurité dans les lieux publics. Une vie marquée, où perte de confiance et honte se côtoient.

Je vous salue salope : La misogynie au temps du numérique, montre aussi comment chacune de ces femmes et cet homme, au nom de celle qui n’est plus là, mènent par des moyens différents le même grand combat. La volonté est commune: ne plus se taire. Leurs quêtes se croisent. Il s’agit d’exiger de ceux qui permettent la diffusion de cette haine, qu’il s’agisse des agresseurs, des géants numériques ou des États, une vaste responsabilisation. Pourquoi s’en prend-on systématiquement aux femmes, d’hier à aujourd’hui? Peut-on briser le moule millénaire, traverser l’écran?

Produit et distribué par La Ruelle Films, le long métrage documentaire Je vous salue salope pose un regard sur l’impact et le fléau des cyberviolences et de la misogynie numérique. Ce site officiel propose également une variété de ressources d’aide pour les victimes de violences en ligne. 

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«Le Fonds TELUS est fier de participer au documentaireJe vous salue salope : La misogynie au temps du numérique, ainsi qu’à son site Web.

Ce projet s’harmonise parfaitement avec le mandat du Fonds qui a pour but de favoriser la santé et le mieux-être des Canadiens.»

Elizabeth Friesen, directrice générale du Fonds TELUS

Site officiel du film Je vous salue salope : la misogynie au temps du numérique
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